Se baser sur une représentation de la réalité ou des stéréotypes plutôt que sur des statistiques :
“Mes amis y jouent et en parlent, donc ce jeu devrait me plaire” On retrouve aussi cette manière de penser dans le biais de conformisme, qui représente la tendance à penser et agir comme les autres le font, dans le but de se faire accepter socialement notamment.

La génération jeune est très influencée par ce que fait autrui, par l’effet de groupe. C’est comme ça que Candy Crush a touché cette population au début : le jeu a plu à plusieurs jeunes, qui en ont parlé à leurs amis, ont partagé leurs résultats sur les réseaux sociaux, etc. Mais cette population se lasse plus vite et plus facilement que les plus de 35 ans par exemple. Le but va donc être de récupérer les jeunes joueurs qui se sont lassés et ceux qui n’ont jamais eu l’occasion d’y jouer.

Un autre facteur qui peut donner envie à un joueur de moins de 21 ans de jouer à un jeu en particulier est l’aspect compétitif. Il aime se comparer à ses amis, son entourage en général. Le problème est que la population de joueurs de moins de 21 ans est trop faible actuellement pour créer une compétition à ce niveau là. C’est là que nous pouvons utiliser un troisième biais cognitif, le biais d’ancrage